« Comment aider un enfant vivant avec handicap à développer certaines aptitudes ? »
Les enfants vivant avec un handicap mental sont parfois relégués au second plan dans certaines familles. Les parents et les autres membres de la famille estiment que ce sont des enfants pour lesquels l’avenir est incertain. Bien souvent, ils négligent l’instruction de ces enfants. Pourtant, il est possible d’aider cette catégorie d’enfants à développer certaines aptitudes littéraires, artistiques ou scientifiques. - Comment aider un enfant vivant avec handicap à développer certaines aptitudes ?
Jody Nkashama s’entretient sur ce thème avec Dr Albert Mananga Lelo, neuropsychiatre : http://radiookapi.net/regions/national/2013/02/07/comment-aider-enfant-vivant-avec-handicap-developper-certaines-aptitudes/
« ETUDE.Handisup facilite les séjours des étudiants handicapés à l'international... qui témoignent. »
«Faire en sorte que chaque jeune, quel que soit son handicap, obtienne un diplôme lui permettant d'accéder à un métier à la hauteur de ses attentes et de ses compétences mais veiller également à ce que ces élèves, en situation de handicap, ne bénéficient pas d'un traitement particulier, cause de discriminations ».
En quelques mots, Jean-Jacques Malandain, le président de l'association Handisup Haute-Normande a résumé la raison d'être de son équipe tout en présentant l'évolution du dispositif que l'association a mis en place pour faciliter la mobilité d'étudiants handicapés haut-normands.
Pour en savoir plus : http://www.paris-normandie.fr/article/rouen/handicap-le-monde-est-a-eux-a-rouen
« Handifashion : un défilé qui change le regard sur le handicap » :
MARSEILLE - Le 30 mars, l’IUT développement et gestion des produits de la mode d’Aix-Marseille organise pour la deuxième année consécutive l’Handifashion. Un moyen de voir les personnes en situation de handicap de manière différente.
Pour en savoir plus : http://www.metrofrance.com/marseille/marseille-handifashion-un-defile-qui-change-le-regard-sur-le-handicap/mmbq!kE5CMjENDBx8o/
« Une famille de La Chapelle-sur-Erdre a été primée pour ses créations adaptées »
De leur propre aveu, ils ne sont « pas des experts du bricolage ». Pourtant, Christophe et Cathy Rohart sont parfois contraints de « faire preuve d'inventivité » pour résoudre les problématiques quotidiennes auxquelles est confronté leurs fils Gauthier, 9 ans, infirme moteur cérébral.
« Chaque handicap est unique alors que le matériel est souvent standard. Il manque certains détails, ou ce n'est pas très beau, en particulier pour les enfants. Des fois on ne trouve même rien d'adapté. Alors, comme d'autres parents, on se débrouille. » Cette famille de La Chapelle-sur-Erdre a ainsi déjà fabriqué une rampe pour fauteuil roulant, un système de portes coulissantes, un meuble-table à langer, une mini-voiture électrique de promenade…Leurs deux dernières inventions, une tablette-grenouille éducative pour «encourager Gauthier à se laver les dents par lui-même» et un sac de piscine « pour le changer au sol au sec », ont même remporté les 1er et 3e prix du concours « Papas bricoleurs et mamans astucieuses » organisé par l'association Handicap International, qui fête ses 30 ans. Constituées d'un miroir fixé à des planches de contreplaqué pour l'une, de morceaux de frite de piscine collés à du plexiglas pour l'autre, les deux créations ont coûté quelques heures de travail et «au maximum 50 € d'achat».
Car l'autre motivation qui pousse les familles à mettre la main à la pâte est financière. «Le handicap rajoute toutes sortes de frais matériels qu'on n'imagine pas au départ, confie le couple. Le sur-mesure est très cher et rarement pris en charge à 100 %. Pareil pour les accessoires et jouets spécialisés. On a l'impression que certains fabricants profitent de la faible demande et du manque de concurrence. Faire soi-même est plus intéressant. » Le concours « Papas bricoleurs » sert donc aussi de réservoir à idées. «On essaie de s'inspirer des autres, surtout qu'il n'y a souvent rien de compliqué. L'intérêt c'est de faire partager et que le plus grand nombre en tire bénéfice », explique la famille.
Article lu dans Minutes / Nantes du 28/02/2013