«Kiabi engage une opération autour de la question du handicap »:

Kiabi se positionne sur la thématique du handicap à travers une opération baptisée Parlons handi-kap avec, notamment, la mise en ligne d’un site dédié et la publication d’une série de vidéos réalisées par les collaborateurs.

Kiabi, engagé sur la question du handicap depuis 2001, lance une opération dédiée avec l’ambition de casser les idées reçues et de changer les mentalités.

À travers l’opération Parlons handi-kap, l’entreprise invite les internautes à découvrir, chaque jour, une vidéo sur sa page Love my fashion job, qui illustre une thématique replacée dans des scènes de vie quotidienne comme handicap et recrutement, formation, évolution ou encore regard des collègues.

Les internautes pourront également retrouver des informations notamment sur les organismes spécialisés, des témoignages de collaborateurs ou encore le process à suivre pour faire reconnaître son handicap.

Site à visiter www.parlonshandi-kap.com

 « Pour que le livre soit accessible, il faut que les gens puissent aller au livre » :

Lors de son ouverture du 60e Congrès de l'Association des Bibliothécaires de France, la ministre Aurélie Filippetti a eu un mot à destination des bibliothèques spécialisées, sur l'offre proposée aux publics empêchés de lire. La réforme du cadre légal, prévue pour 2015, a été réaffirmée par le ministère, et pourrait changer le quotidien d'un grand nombre de lecteurs.

Pour en savoir plus : http://www.actualitte.com/bibliotheques/handicap-en-bibliotheque-une-reforme-du-cadre-legal-en-2015-50934.htm

« Handicap à Cholet : L’Envol, une résidence pour « éviter la solitude » »

Les douze logements de la résidence sont destinés aux personnes avec un handicap psychologique. Avec un objectif principal : s’ouvrir aux autres.

La résidence est en travaux depuis février dernier. Les fondations sont faites, les murs construits, mais il reste encore du travail. Le chantier de l'avenue de l'Europe devrait être terminé en janvier 2015.

« Une école conductive à la rentrée en Bretagne » :

C'est à Plédéliac (22) que la première école conductive (*) de Bretagne et troisième établissement de ce type à ouvrir ses portes en France, « La Maison Escargot », va ouvrir ses portes avec l'accord de l'Inspection d'académie. Début août, sept enfants infirmes moteurs cérébraux originaires des Côtes-d'Armor mais aussi de la Vendée, de l'Yonne et du Gard vont participer à une première session.

À l'origine de ce projet « 100 % privé », des parents, membres fondateurs, en 2004, de l'association CLOÉ (Courage, Lien, Organisation, Espoir) et la centaine de bénévoles qui les accompagnent depuis dix ans maintenant dans leur quotidien.

« Les objectifs de ce centre sont multiples », précise Carole Bourdais-Savé. « Il va permettre l'enseignement de la méthode Petö certes mais aussi aux parents de ne plus se retrouver seuls, d'échanger. La " Maison Escargot " va contribuer autant que faire se peut au changement du regard sur les personnes en situation de handicap ».

« L'éducation conductive part du principe que les enfants sont capables d'apprendre. C'est une vision positive de l'enfant et de son handicap. Lorsque l'enfant est face à un problème, le conducteur (l'intervenant formé à la méthode Petö) va fixer un objectif et mettre en place un certain nombre de tâches pour l'aider à résoudre ce problème, pour devenir acteur », détaille Carole Bourdais-Savé.

Méthode d'éducation alternative, la pédagogie conductive est pratiquée et reconnue dans de nombreux pays, voire prise en charge par l'État comme en Norvège. En France, très peu de places sont disponibles or la demande est forte. Mais Carole Bourdais-Savé ne désespère pas. « Les bénévoles répondent toujours présents. L'Éducation nationale suit de près ce projet et ici, à Plédéliac, nous avons trouvé des élus qui nous soutiennent ».

* L'éducation conductive a pour objectif l'atteinte de la meilleure indépendance possible pour la personne handicapée. Elle a été mise au point par András Petö, un médecin hongrois, dans les années 40.

Contacts : lamaisonescargot@gmail.com ou 06.99.91.25.04.

« Les AVS deviennent  les accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH) »:

Le décret du 27 juin 2014 (JO du 29 juin) les remplace en créant les accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH).

Comme promis par François Hollande durant sa campagne présidentielle, puis par Jean-Marc Ayrault il y a un an, les AESH bénéficient dorénavant d'un contrat à durée indéterminé (CDI), à temps complet ou à temps partiel. Ils sont désormais recrutés, par le recteur d'académie, et "parmi les candidats titulaires d'un diplôme professionnel dans le domaine de l'aide à la personne", alors qu'un niveau bac suffisait jusqu'à présent. Sont toutefois dispensées de diplôme les personnes qui justifient d'une expérience professionnelle de deux années dans le domaine de "l'aide à l'inclusion scolaire des élèves en situation de handicap" ou de "l'accompagnement des étudiants en situation de handicap".

Un arrêté, publié le même jour, fixe leur rémunération au minimum au Smic (entre le Smic et l'indice brut 400 exactement).

Un second arrêté fixe les conditions de leur promotion et de formation, à la suite d'un entretien professionnel passé avec l'inspecteur de l'Education nationale ou le chef d'établissement.

« Maroc : atteinte de trisomie 21, Yasmine obtient son bac avec mention ! »

A Casablanca, au Maroc, une élève atteinte de Trisomie 21 a, elle aussi, créé la surprise en devenant également bachelière. La jeune fille, Yasmine Berraoui, a obtenu l'honorable note de 12,3/20 dans la branche des sciences physiques, ce qui lui vaut la mention Assez Bien.

A découvrir : http://www.leparisien.fr/laparisienne/sante/maroc-atteinte-de-trisomie-21-jasmine-obtient-son-bac-avec-mention-06-07-2014-3981585.php